Découvrez l’univers complexe et essentiel de la protection numérique en faisant la connaissance de Wendkuni Dieudonné Kabré. Arborant le titre d’ingénieur en sécurité des systèmes d’information et aspirant architecte en cybersécurité, il incarne la nouvelle génération de défenseurs de la sphère digitale. Dans un monde où les enjeux de la sécurité informatique n’ont jamais été aussi pressants, sa passion et son expertise le propulsent au premier plan de la lutte contre les menaces virtuelles. Découvrons ensemble le parcours et les aspirations de ce professionnel déterminé à ériger des remparts numériques infranchissables.
Le Grand Frère (LeGF) : Bonjour, peux-tu te présenter ?
Wendkuni Dieudonné Kabre (WDK ) : Je me nomme Wendkuni Dieudonné Kabre, je suis ingénieur en sécurité des systèmes d’information, aspirant architecte en cybersécurité.
LeGF : En quoi consiste ton métier ?
WDK : J’évolue dans une institution financière basée à l’internationale. Je m’occupe de la sécurité des systèmes d’informations dans cette entreprise. À ce poste, j’assure la veille technologique. Je m’assure également des différentes implémentations techniques en matière de sécurité des systèmes d’information. Je m’occupe aussi de garantir la confidentialité, la sécurité globale, la conformité, la conformité réglementaire au sein de cette organisation.
LeGF : Comment s’est déroulée ta formation à l’Ecole Supérieure des Techniques Avancées (ESTA) ?
WDK : Ma formation à l’ESTA s’est déroulée en deux ans. C’est une formation qui vise à donner des compétences dans le domaine de la sécurité des systèmes d’information et la protection des données. C’est une formation basée sur les techniques de cryptographie dans laquelle on a travaillé sur des aspects de sécurité offensive et défensive. Quand tu es amené à vouloir garantir la sécurité d’une organisation, il faut se mettre dans la peau de cette personne malveillante en étant vraiment dans le cadre éthique. La formation m’a appris à maîtriser les aspects défensifs et offensifs. Ce qui m’a valu le poste que j’occupe actuellement.
LeGF : Quel est ton mot de fin ?
WDK : Le domaine de la cybersécurité, notamment au Burkina, est vraiment neutre. Les compétences sont demandées. Malheureusement, on n’a pas vraiment de personnes qualifiées. Je m’adresse à mes jeunes frères qui sont passionnés par la cybersécurité, passionnés par l’informatique de façon générale, à ne pas hésiter de s’approcher de l’École Supérieure des Techniques Avancées pour s’inscrire, apprendre et nous rejoindre dans ce domaine. À mes yeux est la meilleure école qui forme en sécurité des systèmes d’information.