Michel Konkobo : Maîtriser la communication politique dans un contexte africainn et burkinabè

Michel Konkobo, entrepreneur en communication et ancien étudiant en master de communication politique, partage son expérience de formation à l’IAIC. Il revient sur son parcours, ses motivations, et les raisons qui l’ont poussé à choisir une formation adaptée aux réalités africaines. Michel souligne l’importance de la communication dans la gouvernance et encourage vivement les étudiants à se former dans des domaines pointus pour mieux répondre aux défis actuels.

Le Grand Frère (LeGF) : Bonjour Michel, peux-tu te présenter ?

Michel Konkobo (MK) : Bonjour, je suis Michel Konkobo, entrepreneur dans le domaine de la communication et des médias. Je suis également ancien étudiant en master de communication politique à l’Institut Africain des Industries Culturelles (IAIC), promotion 2018-2019.

LeGF : Parle-nous de ton métier.

MK : Je suis promoteur d’une agence de communication qui édite un journal en ligne. Notre entreprise est spécialisée dans le conseil en communication digitale, la communication de crise, publique, et politique. En plus de ces services, nous fournissons une actualité nationale et internationale axée sur des thématiques comme la sécurité, la politique, la diplomatie, la culture, et la société, avec un accent particulier sur l’interactivité, la vidéo, et les tribunes.

LeGF : Qu’est-ce qui t’a motivé à choisir cette formation en communication politique ?

MK : J’ai toujours exercé dans le domaine de la communication politique et publique. À un moment, j’ai ressenti le besoin de formaliser mes compétences, de les structurer avec une méthodologie plus approfondie. J’ai cherché des formations en communication politique, d’abord à l’international, puis en Afrique de l’Ouest. Après plusieurs recherches, j’ai découvert l’IAIC grâce à un ami qui m’a vivement recommandé cette institution. J’ai donc décidé de m’inscrire, et je suis très satisfait des compétences que j’y ai acquises.

LeGF : Peux-tu nous parler de ta formation en communication politique ?

MK : Pour réussir dans le cursus de communication politique, il est essentiel d’avoir un intérêt marqué pour la politique, la gouvernance, et les questions publiques. Il faut être curieux, innovant, aimer les interactions sociales, et ne pas craindre les défis. Ma formation à l’IAIC m’a permis de développer ces aptitudes, grâce à des cours variés allant de la science politique à la gestion des médias, en passant par la prospective, la méthodologie scientifique, et l’art oratoire. Ce fut une formation très enrichissante, adaptée aux réalités africaines.

LeGF : Quel diplôme as-tu obtenu à l’IAIC ?

MK : J’ai obtenu un Master 2 en communication politique, et j’ai eu l’honneur d’être major de ma promotion. Cette formation m’a doté d’une solide base en communication et science politique, avec un accent sur la prospective et la gestion des médias. Nous avons également bénéficié de masterclass avec des professionnels expérimentés, ce qui a grandement enrichi notre apprentissage.

LeGF : Quels sont les débouchés après une formation en communication politique ?

MK : Les débouchés sont nombreux. On peut intégrer des instances de gouvernance, que ce soit dans les ministères, les collectivités territoriales, ou des institutions internationales. Il y a aussi la possibilité de créer sa propre agence de communication, d’éditer un média, ou de devenir consultant pour des ONG ou des personnalités politiques. C’est un domaine en pleine expansion, qui répond aux besoins actuels de nos sociétés.

LeGF : Pourquoi as-tu choisi de te former à l’IAIC ?

MK : Mon choix pour l’IAIC a été guidé par des recommandations et par la qualité des formations qu’elle propose. L’IAIC est une véritable famille, avec des infrastructures adaptées et des enseignants de très haut niveau, reconnus dans leurs domaines. Les cours sont très pratiques, et les professeurs sont des experts chevronnés, ce qui fait toute la différence dans l’apprentissage. L’IAIC offre des filières rares et pointues, parfaitement alignées avec les besoins actuels de notre continent.

LeGF : Quel est ton mot de fin ?

MK : Je recommande vivement l’IAIC à tous ceux qui souhaitent se former dans des domaines pointus et adaptés à nos réalités. C’est une école de référence, avec un personnel dévoué et des formations de qualité, qui permettent aux étudiants de se démarquer et de contribuer efficacement à leur communauté.

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