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Le domaine des sciences sociales, journalisme et information est un grand domaine comportant plusieurs sous-domaines. Ces sous-domaines se rapprochent parce qu’ils ont le même centre d’intérêt : l’humain. Pour avoir des informations ciblées et précises sur le domaine de votre choix, nous vous recommandons de visiter les pages de ces domaines spécifiques.
Les sciences sociales sont des domaines d’études qui portent sur les comportements humains, les relations sociales, les cultures et les sociétés. Elle permet aux étudiants de comprendre les enjeux sociaux, économiques et politiques de la société burkinabè. Cette compréhension est essentielle pour proposer des solutions efficaces qui peuvent améliorer la vie des Burkinabè. Les étudiants en sciences sociales et du comportement sont donc formés pour comprendre les enjeux sociaux, économiques et politiques, et sont amenés à proposer des solutions et des stratégies pour améliorer la vie des individus dans la société.
Par contre, le journalisme est un métier indispensable dans chaque Etat. Il s’agit d’une profession qui demande un sens aigu de l’observation, et un esprit critique. En effet, le journaliste doit dans sa fonction, rechercher l’information juste et vraie, c’est dire qu’il doit la vérifier avant parution. Il doit aussi savoir la rédiger en fonction de son lectorat ou de son auditoire et de la maison de presse qui l’emploi (hebdomadaire, mensuel, quotidien, reportage, magazine, revue, radio, télévision, etc.). Le journaliste peut être parfois amené à commenter les faits, mais il doit pour cela respecter la déontologie du métier.
Le Burkina Faso a connu une forte croissance économique ces dernières années, mais il existe toujours des inégalités importantes entre les différentes régions du pays. Les formations en sciences sociales et du comportement ont pour objectif de fournir aux étudiants les outils nécessaires pour comprendre les facteurs qui contribuent à ces inégalités et à la pauvreté et proposer des solutions pour y remédier. Les formations en sciences sociales ont commencé à se développer dans les universités du Burkina Faso dans les années 1980, et depuis lors, elles ont connu une croissance constante.
Le journalisme au Burkina Faso est une profession relativement jeune. Le pays a commencé à connaître une presse indépendante après l’arrivée au pouvoir de Thomas Sankara en 1983. Depuis lors, le nombre de médias a augmenté rapidement, avec des journaux, des radios et des chaînes de télévision qui ont vu le jour. Cependant, le secteur est confronté à de nombreux défis, notamment le manque de financement, la censure et l’insécurité.
Envisager ces domaines de formation est donc un excellent choix pour qui est curieux, analytique, créatif, a un attrait pour l’actualité, possède de bonnes capacités rédactionnelles, une bonne culture générale, un esprit critique et ouvert et une bonne connaissance des technologies de l’information et de la communication (TICs). Il faut aussi, pour exercer ces métiers, ne pas craindre le risque, être prêt à aller parfois sur le terrain. Et faire preuve d’une rigueur déontologique aiguë.
Au Burkina Faso, Les formations en sciences sociales et en journalisme sont possibles sous le système LMD (Licence, Master, Doctorat). Dès la fin des trois premières années d’études, l’étudiant peut se frayer un chemin sur le terrain. Cependant, il ne deviendra réellement professionnel qu’à partir du niveau master, où il pourra se spécialiser dans la sous discipline de son choix. Les métiers du journal et des sciences sociales étant polyvalents, le choix des spécialités est large.
Les formations sont essentiellement disponibles en cours du jour et en présentiel, dans des universités publiques et privées. Les étudiants souhaitant une formation initiale ou continue trouveront satisfaction.
Une liste des établissements proposant ces formations vous sera offerte plus bas.
Les diplômés en sciences sociales et en journalisme ont de nombreuses opportunités de carrière dans différents domaines. Ils peuvent, dans le premier cas, travailler dans des organisations gouvernementales, des ONG, des entreprises privées, des organisations de la société civile et des universités. Ils peuvent occuper des postes tels que chercheurs, analystes de politiques publiques, gestionnaires de projets, enseignants, conseillers en ressources humaines ou agents de développement communautaire. Les diplômés en sciences sociales ont également la possibilité de poursuivre des études supérieures et de devenir des experts dans leur domaine.
Dans le second cas, il est important de noter que le métier de journaliste va au-delà du micro. Le journaliste n’est pas toujours une personne qui interroge. Il peut être, selon l’organe qui l’emploi et la spécialité suivie, un enquêteur/investigateur (journaliste d’investigation), un pigiste ; il peut travailler dans la presse écrite, les médias web et numériques. Ainsi, bien que la mission principale du journaliste soit la même : partager l’information, les attributions et rôles sont souvent différentes. Cela parce que les exigences des médias spécialisés, des magazines, de la presse nationale ou internationale, des quotidiens, hebdomadaires, mensuels, de la radio et de la télévision etc. sont différentes.
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